QU'EST-CE QUE LA KINÉSIOLOGIE
DE REPROGRAMMATION ÉPIGÉNÉTIQUE ?
Certains de nos programmes épigénétiques nous poussent à rejouer inconsciemment toujours les mêmes patterns conflictuels, générant de la souffrance dans différentes sphères de notre vie jusqu’à trop souvent dégrader notre santé.
La kinésiologie de reprogrammation épigénétique (KRÉ) est une technique qui offre à la dimension globale de mes clients (que je nomme «intricaum*», concept que j'ai élaboré pour expliquer notre nature illimitée) toute la latitude nécessaire pour transmuter dans leur bagage épigénétique les programmes et les mémoires défectueux.
En s’alignant sur leurs objectifs, ils autorisent l’intricaum à modifier leur épigénétique en conséquence.
Je suis toujours fascinée par la rapidité phénoménale d’intégration de leur nouvelle réalité.
J’adore mon travail !
Les bienfaits de cette approche sont sans limites. Grâce à cette méthode globalisante, la vie de mes clients est simplifiée et assainit pour leur épanouissement sur tous les plans.
Un peu d’histoire
D’abord, la kinésiologie (ou cinésiologie) est une discipline scientifique qui étudie la biomécanique articulaire et musculaire des mouvements et postures des corps, qu’ils soient humains ou non.
Un kinésiologue est donc un professionnel de la santé expert des mouvements humains ou non humains. Celui qui s'adresse aux humains ou aux animaux s’appuie sur l’activité physique et motrice afin de prévenir, de soigner et d’améliorer les performances de ses patients.
La «kinésiologie appliquée» à visée thérapeutique est très différente, car elle reconnait l’intelligence innée du corps qu'elle questionne directement.
Elle fut créée par le docteur George Goodheart (1918 - 2008), un chiropraticien américain qui s’intéressa à la kinésiologie (études des mouvements du corps) à la fin des années soixante. Durant sa pratique en tant que chiropraticien, il remarqua que le muscle qu’il traitait réagissait instantanément en réponse aux questions qu’il posait à son patient et ce, de manière totalement indépendante ; il était fort ou faible sous la pression qu’il lui appliquait. Il partagea ce constat à ses confrères qui lui confirmèrent à leur tour avoir fait cette observation. Il vit en cette réponse musculaire une relation étroite entre mouvements, tonus musculaire et diverses maladies. Ainsi, il commença à vérifier par exemple si la prise d’un supplément alimentaire était indiquée en s’adressant directement aux muscles.
Les questions posées au corps évoluèrent au fil du temps pour en venir à tester la source des problèmes physiques. Était-elle émotionnelle ? Énergétique ? Physiologique ?…
Puis, le chiropraticien californien Ed Wagner développa une approche thérapeutique globalisante qui tenait compte du tout indivisible que chaque humain forme avec toutes vies pour faciliter sa pratique, extrayant désormais d’un cartable (qu’il élabora lui-même pour y intégrer tous les aspects dimensionnels de l’être humain) à l’aide de ses propres doigts les informations à conscientiser par ses patients pour désactiver leurs programmes et leurs mémoires impliqués dans la dynamique à transmuter.
Grâce à sa vivacité d’esprit et à son ouverture à la globalité de l'être (chaque vie faisant partie intégrante d’un tout insécable avec toutes vies), le domaine de la kinésiologie effectuait un bond quantique pour non seulement élargir le champ des possibilités, mais également obtenir des résultats épatants en une fraction du temps habituel.
Aujourd’hui, je suis ses traces en utilisant une banque d’énoncés contenue dans un répertoire que j’ai moi-même conçu. À l’aide de mon index et de mon majeur que j’ai programmés afin qu’ils me guident par un «oui» (mon indexe s’affaiblit et descend) ou un «non» (il reste fort), j’en extrais les mots-clés, guidée par l’inconscient collectif, pour remonter à la conscience de mes clients les programmes et les mémoires épigénétiques à l’origine des difficultés qui les amènent à me consulter. Parce que nous sommes bien plus que de la chair et des os, une fois ces derniers dévoilés, leur dénouement s’amorce d’abord dans le subconscient de mes clients (gardien de leurs programmes et de leurs mémoires) puis dans les corps subtils atteints pour se répercuter à travers la globalité de leur être qui est composé des corps physique, émotionnel, mental, spiritiel et intriqué ; leur santé dans son ensemble s’en trouvant inévitablement améliorée.
En résumé
La kinésiologie de reprogrammation épigénétique n’est pas de la kinésiologie appliquée puisque la technique n’implique pas d’exercer une pression sur un des muscles du client pour établir des liens. De plus, elle ne fait aucun diagnostic ni ne prescrit de traitement.
Elle n’étudie pas non plus les mouvements corporels comme le fait la kinésiologie traditionnelle.
La kinésiologie que je pratique interroge la dimension globale d’une manière qui n’exige aucun contact physique avec mes clients. C’est l’une des raisons pour lesquelles mes accompagnements sont tout aussi puissants par vidéo ou par téléphone. Cette approche est extrêmement efficace pour faciliter la résolution des défis placés sur leur route par la vie. Elle le fait en portant à leur attention les «préprogrammants» transmis par leurs ancêtres à travers leur ADN (par sa lecture épigénétique), les «programmants»[1] induits encore une fois dans leurs cellules par toutes les expériences de leurs parents (pensées, paroles, actions, projets, rêves, embûches, etc.) pendant les vingt-sept mois entourant leur naissance, et les déclencheurs qui les ont «réveillés» pour les leur faire vivre dans leur quotidien. C’est ainsi que le processus de transmutation se met en mouvement pour que l’onde bienfaitrice amorcée par l’accompagnement en reprogrammation épigénétique atteigne toutes les couches de sa globalité pour l'aider à mieux vivre au quotidien. Cette approche tient aussi compte des autres vies.
Grâce à ma capacité à m’unir à la dimension globale de l’être, j’accède à l’inconscient (bibliothèque des mémoires de toute la Création) et au subconscient de mes clients (ce dernier étant le gardien des programmes et des mémoires qu’ils ont adoptés) par un test musculaire que je pratique sur mes doigts (mon majeur représentant ma main qui exerce une pression sur le bras de mes clients, ce dernier étant symbolisé par mon index).
Cela peut être difficile à concevoir.
Douter de la connexion qui existe entre toutes choses et qui prête à l’intention tout son pouvoir afin qu’elle impacte sur son environnement est tout à fait naturel à notre époque.
Ce concept n’est pas aisé à saisir pour nous qui évoluons dans un monde conditionné à limiter.
La physique quantique nous le prouve de plus en plus à travers d’innombrables expériences.
Le lien ci-dessous qui mène à une courte vidéo dans laquelle Dr Quantum, un vulgarisateur scientifique animé très sympathique, explique les fentes de Young et le phénomène de l’entrelacement (ou intrication) aide à l'accepter.
https://www.youtube.com/watch?v=Q-KRSGQvr6U
Ce qui est à retenir de cette démonstration, c’est que le simple fait d’avoir placé un dispositif de mesurage pour observer les électrons passer à travers les fentes a produit un résultat différent parce que la conscience «limitée» du scientifique qui ne saisissait pas le phénomène, supposant une tout autre réaction, y était liée par l’intention. En ce qui concerne la seconde expérience, afin d’arriver à comprendre puis à prouver que le temps et la distance n’ont en réalité aucune influence sur les électrons, ceux-ci communiquant entre eux instantanément, il a fallu qu’un chercheur s’ouvre à cette possibilité.
[1] Programmants et projets-sens sont des synonymes. Ils sont enregistrés dans les mémoires cellulaires particulièrement pendant les vingt-sept mois entourant la naissance (c.-à-d. des neuf mois avant la conception aux neuf mois après l’accouchement), mais aussi jusqu’à l’âge de sept ans.
* Le concept «intricaum» que j'ai élaboré et qui sera au cœur de mes formations pour expliquer notre nature illimitée est une marque de commerce que j'ai déposée.
Biographies
Le Docteur George Goodheart a étudié en chiropractie à l’université de Détroit et au « National Collete of Chriopractic » de Chicago. Il obtient son diplôme en 1939.
Il sert dans l’armée américaine (US Air Force) en France et en Angleterre pendant la Seconde Guerre mondiale. Gradé major, il reçoit la « Bronze Star » (quatrième plus haute distinction pour bravoure, héroïsme et mérite).
Dr Goodheart est le premier chiropraticien olympique pendant les XIIIes jeux Olympiques d’hiver au Lac Placid (New York - 1979).
Il exerce sa profession avec son père à Détroit pendant plus de trente ans avant de déménager à Grosse Pointe pour y étudier les muscles et la santé en général, ce qui le mènera à la kinésiologie appliquée.
https://en.wikipedia.org/wiki/George_Goodheart
La carrière dans le domaine de la santé du Dr Edward D. Wagner DC a commencé à l’âge de 21 ans, lorsqu’il travaillait dans l’un des premiers clubs de santé du sud de la Californie.
Il obtient son permis d’exercice en 1977.
En 1979, il obtient une licence à Hawaii, et en 1981, il ouvre le cabinet « Lahaina Natural Foods » à Maui. Pendant 25 ans, il fait des allers-retours entre ses deux cabinets à Malibu, en Californie, et à Lahaina, à Maui.
Dr Wagner obtient un diplôme d’études supérieures en blessures sportives et récréatives en 1986.
En 1991, il est nommé membre certifié par le conseil d’administration de l’Academy of Clinical Applied Spinal Biomechanical Engineering.
Il poursuit ses études pour obtenir sa certification en thérapie méridienne et en biomécanique de la scoliose et traitement connexe.
De 1988 à 1994, il maîtrise le système chiropratique énergétique de TBM et il reçoit le titre de docteur TBM de l’année en 1992.
Il a également obtenu une certification en plusieurs techniques chiropratiques, pour finalement concevoir son propre système de traitement.
Dr Wagner développe son système de soins de santé alternatifs qui soulage diverses conditions, rétablissant la santé de milliers de patients dans le monde entier.
«C’est avec l’expérience que j’ai trouvé que cette méthode était la plus efficace pour éradiquer les symptômes, mais plus encore, pour permettre au patient de comprendre comment son état s’est développé et mûri avant même que les symptômes n’apparaissent. Avec cette connaissance, un changement de mode de vie ou de comportement peut avoir lieu qui empêchera le retour de la condition ou une mutation plus grave de sa forme qui créerait autrement un nouveau trouble ou une nouvelle maladie plus tard.»
Dr Edward D. Wagner DC